La collaboration entre l’Université du Luxembourg et les Centres de recherche publique (CRP)

Une question parlementaire des députés Martine Stein-Mergen et Marcel Oberweis à Monsieur le Ministre de la Culture, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche

Monsieur le Président,

Par la présente, nous avons l’honneur de vous informer que, conformément à l’article 75 du Règlement de la Chambre des Députés, nous souhaitons poser une série de questions à Monsieur le Ministre de la Culture, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche concernant la collaboration entre l’Université du Luxembourg et les Centres de recherche publique (CRP).

Comme le soulignent son mission statement et son plan stratégique, l’Université du Luxembourg a été créée le 12 août 2003 pour mener à bien trois missions : la formation, la recherche et la valorisation, au plus haut niveau international.

La loi luxembourgeoise du 9 mars 1987 a permis la mise en place d’un dispositif de recherche notable sur le plan national. Elle a notamment donné naissance à trois centres de recherche publics, à savoir les CRP Gabriel Lippmann, Henri Tudor et Santé.

Le Fonds National de la Recherche (FNR) a été créé par la loi du 31 mai 1999 dans l’intention de donner une impulsion supplémentaire aux activités de recherche au Luxembourg.

En date du 6 février 2007, la Société Nationale de Crédit et d’Investissement (SNCI) et l’Université du Luxembourg ont signé une convention de coopération concernant la « Facilité Université du Luxembourg et CRP », étendant par là l’offre de crédit existant pour les CRP à l’Université du Luxembourg.

Au vu de ce qui précède, nous voudrions poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre de la Culture, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche :

  • La collaboration entre l’Université et les CRP, présente-t-elle déjà des résultats ?
  • Quelle est l’influence du FNR dans cette collaboration Université – CRP ?
  • Dans quelle mesure la convention avec la SNCI, pourra-t-elle valoriser la recherche au Luxembourg ?

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre très haute considération.

Marcel Oberweis
Martine Stein-Mergen

Députés

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