Lycée Jonglënster : Net genuch Schüler fir verschidde Klassen ?

Réponse à la question N° 2260 (Question écrite) de Madame Françoise Hetto-Gaasch, Députée, Madame Nancy Arendt, Députée concernant “Lënster Lycée”, par Monsieur Claude Meisch, Ministre de l’Education nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse: qp-2260


 

Monsieur le Président,

Par la présente, nous avons l’honneur de vous informer que, conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, nous souhaiterions poser une question parlementaire à Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse au sujet du « Lënster Lycée ».

Après quatre années de travaux, le « Lënster Lycée » a ouvert ses portes à la rentrée 2014/2015 pour 1.500 élèves. D’un côté, le Lënster Lycée permet aux élèves de la région d’éviter les allers retours quotidiens vers d’autres établissements plus lointains. Pour d’autres élèves ayant interrompu leur parcours scolaire, le Lycée constitue une deuxième chance, grâce à son concept pédagogique innovateur.

Dans ce contexte, nous aimerions poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre de l’Education nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse :

Monsieur le Ministre peut-il nous faire parvenir un premier bilan du Lycée de Junglinster ?

Selon nos informations plusieurs classes vont être fermées à cause d’un effectif de classe trop bas.
Monsieur le Ministre peut-il nous confirmer cette information ?

Dans l’affirmative, quelles sont les raisons de cet effectif des classes à faible niveau ?

Monsieur le Ministre ne juge-t-il pas cette manière de procéder comme contraire aux intérêts des élèves dont beaucoup ont voulu effectuer leur carrière scolaire entière au « Lënster Lycée », ou pour lesquels le Lycée constitue une deuxième chance ?

Est-ce que d’autres classes dans d’autres Lycées ont dû être fermées à cause d’un effectif de classe trop bas ?

Comment le Ministre envisage-t-il d’éviter à l’avenir des problèmes similaires ?

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre très haute considération.

Françoise Hetto Nancy Arendt

Députées

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