Communiqué de Presse

Dans le cadre de la couverture médiatique de l’affaire dite „Schoolleaks“ , il est insinué que le CSV se livrerait au détriment des enfants à des intrigues politiques. On peut lire notamment sur le site www.rtl.lu:

“Och dCSV wosst ganz fréi Bescheed: si huet dënschdes am Nomëtteg – 24 Stonnen nodeems d’Dokumenter gescanned a polycopéiert gi waren (a virun all Press!) – eng Question parlementaire gestallt, wou dra steet, datt se wosst, datt d’Epreuven am Secondaire ukomm waren a wou dëse schäinhellege Saz drasteet:

De quelle manière le Ministre entend-il éviter à ce que le contenu des épreuves communes (et écoutes) ne deviendra public ?”

Il est suggéré que l’affaire pourrait avoir des conséquences politiques, car le CSV devrait également se demander qui savait quoi à quel moment.

De tels propos doivent être rejetés catégoriquement.

Les députés Félix Eischen et Martine Hansen ont reçu copie d’une lettre d’accompagnement – sans les annexes ! – datant du 16 mars 2015 et adressée par le Ministère de l’Education nationale aux professeurs intervenant dans le cadre des conseils d’orientation du cycle 4.2.. Il ressort de l’entête qu’une copie des différentes épreuves communes de l’année scolaire 2014-2015 était jointe à la missive. Ils ont reçu cette copie le 16 mars en fin d’après-midi. En date du 17 mars, ils ont posé une question parlementaire.

Il est évident au vu de l’entête et notamment des annexes y jointes que le système mis en place par le Ministère risque de provoquer des fuites voire favoriser des abus.

Les députés Félix Eischen et Martine Hansen ont fait leur devoir d’élus en attirant l’attention du Ministère de l’Education sur la problématique et en lui demandant ce que le Ministre comptait faire.

Communiqué par le groupe politique CSV

Luxembourg, le 24 mars 2015

 

Link: Question parlementaire des députés Félix Eischen et Martine Hansen