Dans sa déclaration sur la politique de coopération menée par le Luxembourg, Jean-Louis Schiltz, ministre de la coopération, a affirmé l’objectif du gouvernement d’investir 1 % du Revenu national brut pour l’aide au développement.
Dans sa déclaration sur la politique de coopération menée par le Luxembourg, Jean-Louis Schiltz, ministre de la coopération, a affirmé l’objectif du gouvernement d’investir 1 % du Revenu national brut pour l’aide au développement.
Pour 2004, ce taux s’élève à 0,84 % du RNB ce qui équivaut à un volume financier de l’ordre de 183 millions EUR.
En termes de déboursements par tête d’habitant, le Luxembourg a avec 318 dollars occupé en 2003 le premier rang mondial devant le Danemark avec 305 dollars et la Norvège avec 298 dollars.
En ce qui concerne les dix pays cibles de la coopération, Jean-Louis Schiltz a estimé « qu’à ce stade aucun des pays cibles n’a in globo atteint un stade de développement qui lui permettrait de voler de ses propres ailes et qui permettrait ainsi à la Coopération luxembourgeoise de se retirer.»
La lutte contre le SIDA et la pauvreté, ainsi que l’amélioration de la cohérence des politiques nationales et internationales constituent, selon le ministre, les priorités de la politique du gouvernement en matière de l’aide au développement.