Bilan de la journée parlementaire

Lors de la conférence de presse le président du groupe parlementaire du Parti Chrétien Social (CSV), Lucien Weiler, a présenté un bilan de la journée parlementaire à la presse luxembourgeoise.

La Voix du Luxembourg écrit:
«L’économie, la politique des classes moyennes, le chômage et l’enseignement sont les quatre grands thèmes abordés lors de lette journée parlementaire. Lucien Weiler estimant que son parti a réuni «en temps utile les trois vecteurs» permettant de créer un climat économique favorable. Quant à la diversification économique, et malgré le contexte morose, Lucien Weiler estime qu’en terme de capital investi et d’emplois créés, le coalition affiche «les mêmes performances» que lors des années plus roses.»

(Extrait du journal «La Voix du Luxembourg, 09.10.2003, page 5)


Le Jeudi écrit:
«Lucien Weiler a pris le temps d’énumérer à la presse, point par point, les domaines sur lesquels son parti est critiqué. Tout d’abord la politique économique et le chômage. «C’est un domaine qui nous tient à cœur mais il n’y a pas de solutions miracles car notre chômage national est concurrencé par l’emploi des frontaliers. Il nous faudrait une croissance économique d’au moins 4% pour que cela se ressente positivement sur notre taux de chômage.»

Sur la question de la politique financière et budgétaire: «L’opposition formule à notre égard des critiques générales sans nous faire pour autant des propositions alternatives. On ne nous dit pas si nous aurions dû emprunter plus ou moins, faire plus ou moins de déficit. Nous n’avons aucune raison de modifier quoi que ce soit car ces critiques au fond ne tiennent pas debout.»

A propos des classes moyennes: «Notre travail sur le cadre législatif, les impôts, les cotisations sociales, les aides directes étatiques a créé un cadre favorable reconnu par les responsables du secteur.»

Quant aux grands thèmes de société: «On nous reproche des méga-retards dans ces domaines, tant sur le temps que sur le fond. Or, si l’on regarde ce qui se passe outre-frontières (confer la législation belge sur l’euthanasie, par exemple), nous remarquons que nous ne sommes pas en retard. Mieux, dans certains domaines comme la Sécurité sociale ou les droits de succession, nous allons même plus loin que nos voisins allemands ou français.»

(Extrait du journal «Le Jeudi, 09.10.2003, page 3)