Wéi gesäit de psychologeschen Encadrement vun Zaldoten, Polizisten a Sekuristen aus ?

Réponse à la question N° 3163 (Question écrite) de Madame Nancy Arendt, Députée concernant Encadrement psychologique de certaines professions à risque, par Monsieur Etienne Schneider, Ministre de la Défense, Monsieur Etienne Schneider, Ministre de la Sécurité intérieure, Monsieur Dan Kersch, Ministre de l’Intérieur:QP 3163

Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une série de questions à Monsieur le Ministre de la Défense et de la Sécurité intérieure et à Monsieur le Ministre de l’Intérieur au sujet de l’encadrement psychologique de certaines professions à risque.

Certains professionnels sont soumis à des risques non négligeables. Il en est ainsi des soldats luxembourgeois qui contribuent e. a. au maintien de la paix au niveau international, des policiers qui œuvrent à la sécurité et au maintien de l’ordre public, ou encore des secouristes qui interviennent dans le cadre d’accidents et de sinistres. Tous peuvent subir dans le cadre de leurs missions professionnelles ou volontaires des troubles psychologiques.

C’est à ce sujet que j’aimerais avoir les renseignements suivants de la part des Ministres mentionnés ci-dessus :

  • Messieurs les Ministres peuvent-ils me communiquer les statistiques ainsi que l’évolution relatives au nombre de soldats, policiers, secouristes etc. ayant eu recours à leurs services psychologiques respectifs dans le cadre de leurs missions professionnelles ou volontaires durant ces dernières années ?
  • Messieurs les Ministres peuvent-ils me dire si une évaluation des services psychologiques existants a été réalisée récemment et me fournir, le cas échant, les conclusions y relatives ?
  • Dans la négative, Messieurs les Ministres sont-ils d’avis que l’encadrement psychologique existant est toujours en phase avec l’actualité ou estiment-ils au contraire qu’une mise à jour s’avère nécessaire ?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma parfaite considération.

Nancy Arendt

Députée

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