Ginn Éischthëllefscoursen net als Weiderbildung am Enseignement unerkannt ?

Réponse à la question N° 2640 (Question écrite) de Madame Sylvie Andrich-Duval, Députée, Madame Françoise Hetto-Gaasch, Députée, Madame Martine Hansen, Députée concernant Cours de premiers secours, par Monsieur Claude Meisch, Ministre de l’Education nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse: QP 2640


Monsieur le Président,

Par la présente, nous avons l’honneur de vous informer que, conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, nous souhaiterions poser une question parlementaire à Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse au sujet des cours de premiers secours.

Selon le règlement grand-ducal du 6 septembre 2016 portant modification du règlement grand-ducal modifié du 24 juillet 2007 portant fixation de la tâche des enseignants des lycées et lycées techniques, les enseignants sont obligés de participer sur une période de 3 ans à au moins 48 heures de formation continue. Ces formations continues sont organisées, certifiées et validées par l’Institut de formation de l’éducation nationale (IFEN).

A l’école, comme dans les entreprises ou d’autres établissements, il est important qu’un certain nombre de membres du personnel maîtrise les gestes de premiers secours.

Or, selon nos informations des formations de premiers secours ne sont pas certifiées à l’heure actuelle en tant que formation continue.

Dans ce contexte, nous aimerions poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre de l’Education nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse :

  • Monsieur le Ministre peut-il nous confirmer cette information ?

  • Dans l’affirmative, Monsieur le Ministre n’estime-t-il pas qu’une formation de premiers secours soit utile et nécessaire pour un enseignant ?

  • Dans la négative, pour quelles raisons la formation aux premiers secours n’est pas certifiée et validée par l’IFEN en tant que formation continue ?

  • Le Ministre envisage-t-il remédier à cette situation ?

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre très haute considération.

Sylvie Andrich-Duval Françoise Hetto Martine Hansen

Députées

Zréck